Comment gérer les maladies des pailles

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Comment gérer les maladies des pailles

La gestion des résidus de cultures céréalières, notamment le blé et l’orge, après la récolte est une étape cruciale pour assurer la santé et la productivité des futures cultures. Parmi les principaux défis auxquels les professionnels sont confrontés actuellement figure la gestion des maladies des pailles comme le piétin-échaudage, la fusariose et la rouille, trois maladies fongiques qui peuvent sérieusement compromettre la qualité des pailles et, par conséquent, celle des cultures suivantes. 

Ces maladies sont favorisées par des conditions spécifiques de température et d’humidité, souvent présentes après la récolte, qui permettent aux champignons de se développer sur les résidus de paille.

Les contraintes météorologiques exceptionnelles de cette année avec des périodes prolongées d’humidité et des températures fluctuantes, ont exacerbé le problème des maladies des pailles. 

Cette année le risque de contamination par des champignons pathogènes est donc particulièrement élevé, rendant indispensable une gestion rigoureuse des résidus. 

Ignorer cette étape peut conduire à une diminution significative des rendements et à des pertes économiques importantes. Nous allons donc voir dans cet article quelles sont les actions que nous pouvons mettre en place rapidement pour gérer les résidus de paille et les maladies associées.

1 : Comprendre les Maladies des Pailles

Le piétin-échaudage est une maladie fongique causée par le champignon Oculimacula spp., qui affecte principalement les graminées, notamment le blé et l’orge. Cette maladie se manifeste par l’apparition de taches brunes et de lésions sur les racines et les bases des tiges, entraînant un affaiblissement des plantes. 

Les cultures touchées montrent souvent des symptômes de jaunissement et peuvent mourir prématurément, ce qui réduit considérablement le rendement. Les conditions favorables au développement du piétin-échaudage incluent un sol humide et des températures fraîches, particulièrement au printemps et à l’automne.

La fusariose est une autre maladie majeure des céréales, causée par des espèces du genre Fusarium. Elle se caractérise par des symptômes tels que des décolorations brunes ou roses sur les tiges, les épis et les grains, ainsi qu’une pourriture des racines. 

Cette maladie peut conduire à des pertes de rendement significatives et à une diminution de la qualité des grains, notamment en raison de la production de mycotoxines, des composés toxiques pour l’homme et les animaux. 

Les conditions climatiques chaudes et humides favorisent la prolifération des champignons Fusarium, rendant la gestion des résidus de paille contaminés cruciale pour limiter leur propagation.

Les rouilles sont un groupe de maladies fongiques qui affectent diverses cultures céréalières. Les types de rouilles les plus courants sont la rouille jaune (Puccinia striiformis), la rouille brune (Puccinia recondita), et la rouille noire (Puccinia graminis). 

Ces maladies se manifestent par des pustules de couleur rouille sur les feuilles, les tiges et les épis, qui contiennent des spores capables de se propager rapidement. Les rouilles affaiblissent les plantes en réduisant la photosynthèse, entraînant des pertes de rendement et une qualité de grain inférieure. 

Les conditions favorables au développement des rouilles comprennent une humidité élevée et des températures modérées, souvent rencontrées après la récolte lorsque les résidus de paille restent sur le champ.

2 : Impact des résidus contaminés sur les cultures suivantes

Les résidus de paille contaminés par des champignons pathogènes, tels que ceux responsables du piétin-échaudage, de la fusariose, et des rouilles, constituent une source importante d’inoculum pour les cultures suivantes. 

Ces champignons survivent sur les débris végétaux restants après la récolte, et leurs spores peuvent être facilement disséminées par le vent, l’eau ou les outils agricoles. 

Lorsque les nouvelles cultures de blé ou d’orge sont implantées dans des champs contenant ces résidus infectés, elles sont exposées à une infection précoce qui peut compromettre leur développement dès les premières phases de croissance.

Les infections fongiques des cultures céréalières ont des répercussions économiques significatives pour les exploitations. Les pertes de rendement sont une conséquence directe des maladies, car les plantes affaiblies ne parviennent pas à produire des grains en quantité suffisante. 

De plus, la qualité des grains récoltés peut être sérieusement affectée, notamment par la présence de mycotoxines dans le cas de la fusariose, ce qui limite leur commercialisation et réduit leur valeur sur le marché. 

Les professionnels doivent également faire face à des coûts supplémentaires pour le traitement des champs infectés, que ce soit par l’application de fongicides ou par des pratiques culturales spécifiques visant à réduire l’inoculum fongique.

La gestion des résidus de paille est non seulement une question de santé des cultures, mais aussi un enjeu crucial pour la viabilité économique des exploitations agricoles.

3 : Les solutions proposées par Akra pour gérer les maladies des pailles

Akra Stroh R+P+K est une solution innovante conçue pour amender les pailles après récolte et limiter les infections fongiques telles que le piétin-échaudage, la fusariose, et les rouilles. 

Ce produit combine des éléments nutritifs essentiels tels que le phosphore (P), le potassium (K) et des micro-organismes spécifiques qui décomposent efficacement les résidus de paille. 

Le mode d’action de Akra Stroh R+P+K repose sur la stimulation de la décomposition des matières organiques, réduisant ainsi la quantité de champignons pathogènes présents sur les résidus. En enrichissant le sol en éléments nutritifs, ce produit favorise également une meilleure croissance des cultures suivantes.

Pour les situations de forte pression fongique, Akra propose une combinaison de produits complémentaires : MSB, Sulfur, et WD. 

MSB est un mélange de minéraux et de nutriments qui renforcent les défenses naturelles des plantes et améliorent la structure du sol. 

Sulfur (soufre) est un élément clé pour la santé des plantes, agissant comme un fongicide naturel qui limite la prolifération des champignons pathogènes. 

Enfin, WD (Wettable Dust) est un agent dispersant qui améliore la distribution des autres produits sur les résidus de paille, assurant une couverture uniforme et une efficacité accrue. 

La combinaison de ces produits offre une solution complète pour les agriculteurs confrontés à des conditions particulièrement difficiles.

L’utilisation des solutions proposées par Akra, notamment Akra Stroh R+P+K et les produits complémentaires MSB + Sulfur + WD, a des effets bénéfiques qui se ressentent sur deux campagnes agricoles. 

En décomposant efficacement les résidus de paille et en réduisant les infections fongiques, ces produits améliorent la santé des sols et favorisent une croissance plus vigoureuse des cultures suivantes. 

À long terme, l’adoption de ces solutions permet non seulement de protéger les cultures contre les maladies et aussi de maintenir la fertilité des sols.

4 : Application et mise en oeuvre

L’application des produits Akra, tels que Akra Stroh R+P+K et les produits complémentaires MSB + Sulfur + WD, doit être effectuée immédiatement après la récolte des céréales. 

Ce timing est crucial car il permet de traiter les résidus de paille avant que les conditions climatiques ne favorisent la prolifération des champignons pathogènes. 

Pour appliquer ces produits, il est recommandé d’utiliser un pulvérisateur ou un épandeur de précision, assurant une distribution homogène sur l’ensemble des résidus de paille. 

Le dosage précis et l’homogénéité de l’application sont essentiels pour obtenir les meilleurs résultats possibles et assurer une bonne décomposition des pailles.

L’intégration des solutions Akra dans les pratiques culturales courantes, comme le déchaumage, est une étape clé pour optimiser les résultats. 

Le déchaumage doit être réalisé après l’application des produits. Cette opération favorise la décomposition rapide des résidus et l’incorporation des éléments nutritifs dans le sol.

Il est crucial de planifier ces interventions en fonction des conditions météorologiques et des calendriers de culture. 

Par exemple, il est préférable d’éviter le travail du sol en périodes humides pour prévenir le compactage, qui pourrait entraver la décomposition des pailles et la croissance des cultures suivantes. 

De plus, l’utilisation de ces solutions doit être intégrée dans une approche globale de gestion des cultures, incluant la rotation des cultures, l’analyse régulière des sols et la surveillance des signes de maladies.

Grâce à ces bonnes pratiques, il est possible de réduire l’impact des maladies fongiques sur les cultures, mais aussi d’améliorer la santé globale des sols, conduisant à de meilleurs rendements sur le long terme. 

La gestion des résidus de cultures céréalières, particulièrement les pailles, est une étape cruciale pour prévenir la propagation de maladies telles que le piétin-échaudage, la fusariose et les rouilles. 

Ces maladies peuvent sérieusement compromettre la qualité des sols et des cultures suivantes, entraînant des pertes de rendement et des coûts économiques significatives. 

Les solutions proposées par Akra, notamment Akra Stroh R+P+K et les produits complémentaires MSB + Sulfur + WD, offrent une réponse efficace pour limiter la prolifération des champignons pathogènes et enrichir le sol en éléments nutritifs essentiels.

En intégrant ces solutions dans vos  pratiques culturales, vous vous assurez que vos champs restent sains et productifs, tout en contribuant à la préservation de la qualité des sols. 

Contactez nous pour découvrir ces solutions et découvrir comment vous pouvez les adopter sur votre exploitation.

Qui n’a pas senti ces odeurs caractéristiques aux abords d’une exploitation agricole ou dans les champs après un épandage ? 

Cette signature olfactive, souvent source de tensions avec le voisinage, révèle en réalité un problème plus profond : une mauvaise fermentation des déjections animales générant d’importantes émissions d’ammoniac. 

Au-delà de la nuisance olfactive, ces émissions contribuent significativement aux gaz à effet de serre agricoles.

Face au durcissement des réglementations environnementales européennes et à la pression croissante sur le secteur de l’élevage, optimiser la gestion des effluents d’élevage devient un enjeu stratégique pour les exploitants. 

Cet article présente deux solutions techniques complémentaires permettant de réduire considérablement les émissions d’ammoniac tout en améliorant la valeur agronomique des effluents : la solution Akra WD et les injecteurs de lisier Duport.

I Les enjeux techniques et réglementaires

L’agriculture représente environ 20% des émissions totales de gaz à effet de serre, dont la moitié provient directement des activités d’élevage. Dans ce contexte, les déjections animales constituent un point critique nécessitant une gestion optimisée. 

Ces dernières décennies, l’évolution des pratiques d’élevage a profondément modifié la nature des effluents à gérer. 

Les systèmes sur paille produisant du fumier ont progressivement laissé place aux étables à caillebotis générant principalement du lisier – un effluent liquide plus complexe à manipuler et potentiellement plus émissif.

Cette évolution s’accompagne d’un cadre réglementaire de plus en plus contraignant. 

Certains pays comme les Pays-Bas vont jusqu’à racheter des élevages pour les fermer, tandis que d’autres, comme le Danemark, envisagent des taxes sur le cheptel. 

En France, les plans de réduction des émissions d’ammoniac s’intensifient, avec des objectifs chiffrés à atteindre sous peine de sanctions.

D’un point de vue économique, la volatilisation de l’ammoniac représente une perte nette pour l’exploitation. 

Chaque kilogramme d’azote perdu dans l’atmosphère équivaut à un manque à gagner sur la fertilisation et nécessite des apports compensatoires coûteux. 

Selon les estimations, jusqu’à 30% de l’azote contenu dans les effluents peut être perdu par volatilisation lors des phases de stockage et d’épandage conventionnel.

II Optimisation de la gestion des effluents en bâtiment

La gestion des effluents commence dès le bâtiment d’élevage. Les pratiques diffèrent considérablement selon la nature des déjections. 

Le fumier, mélange de déjections solides et de litière, peut généralement être épandu directement après stockage. 

Le lisier, quant à lui, nécessite un brassage intensif préalable pour homogénéiser les phases liquides et solides – une opération chronophage et énergivore pouvant prendre plusieurs jours.

La composition du lisier influence directement son potentiel d’émission d’ammoniac. 

Un pH élevé, une forte concentration en azote ammoniacal et une température élevée favorisent la volatilisation. 

Les pratiques traditionnelles de gestion du lisier créent souvent des conditions propices à ces émissions, notamment lors du brassage qui libère massivement l’ammoniac dissous.

Plusieurs facteurs techniques influencent la volatilisation de l’ammoniac en bâtiment :

  • La conception des fosses et la durée de stockage
  • La température ambiante et la ventilation
  • Le pH du lisier
  • Le régime alimentaire des animaux

Pour les exploitants, la maîtrise de ces paramètres représente un défi technique quotidien impactant directement la qualité de l’air dans les bâtiments, la santé des animaux et la valeur agronomique finale des effluents.

 

III L’Akra WD : données techniques et résultats sur exploitation

L’Akra WD se présente comme une solution biologique innovante pour le traitement des effluents d’élevage. 

Ce produit agit en modifiant le processus de fermentation des déjections, favorisant la fixation de l’azote ammoniacal et limitant sa volatilisation.

L’efficacité de l’Akra WD dépend d’un dosage adapté au type d’effluent :

  • Pour le lisier porcin ou bovin : 20 litres d’Akra WD pour 40-50 m³
  • Pour le lisier de volaille : 20 litres d’Akra WD pour 15 m³
  • Pour le fumier solide : 1 litre d’Akra WD dilué dans 3 litres d’eau pour 100 m² de surface, à pulvériser tous les 2 jours
  • Pour le lisier liquide : 20 litres d’Akra WD pour 100 m³, à mélanger au minimum 2 jours avant l’épandage

 

Les essais en conditions réelles démontrent plusieurs avantages quantifiables :

  • Réduction des émissions d’ammoniac de 40 à 60%, mesurable par la diminution des odeurs et l’amélioration de la qualité de l’air
  • Liquéfaction du lisier avec dissolution significative de la croûte flottante
  • Réduction du temps de brassage de 60 à 70%, permettant des économies substantielles en carburant et en temps de travail
  • Homogénéisation optimisée facilitant le pompage et l’épandage

 

Un aspect particulièrement intéressant pour les exploitants est l’amélioration de la qualité de l’air dans les bâtiments d’élevage. 

La réduction des émanations d’ammoniac diminue les problèmes respiratoires chez les animaux et améliore les conditions de travail des éleveurs.

L’investissement dans l’Akra WD est rapidement rentabilisé par plusieurs facteurs :

  • Économies sur les engrais azotés minéraux grâce à une meilleure valorisation de l’azote organique
  • Réduction des coûts énergétiques liés au brassage
  • Diminution des interventions vétérinaires liées aux problèmes respiratoires
  • Amélioration des performances zootechniques (meilleure prise alimentaire et valorisation)

 

La compatibilité avec différents systèmes d’élevage (bovins, porcins, volailles) en fait une solution polyvalente adaptée à la majorité des exploitations.

IV Les injecteurs Duport : spécifications techniques et performances

L’épandage représente une phase critique où jusqu’à 70% de l’azote ammoniacal peut être perdu par volatilisation lors d’un épandage conventionnel de surface. 

Les injecteurs Duport constituent une réponse technique à cette problématique en permettant l’application directe du lisier dans le sol.

La gamme Duport propose plusieurs modèles adaptés aux différentes configurations d’exploitation :

  • All Track Farmer : Modèle léger et maniable pour les exploitations moyennes, avec des largeurs de travail de 4,4 à 8 mètres. Idéal pour les parcelles de taille moyenne et les terrains variés.
  • All Track HD Profi : Version robuste conçue pour les grandes exploitations et les entrepreneurs, offrant des largeurs de travail impressionnantes de 5,8 à 12,3 mètres. Sa conception renforcée lui permet de supporter des charges importantes tout en maintenant une précision d’application optimale.
  • All Track Twin : Équipé de disques en V facilitant la pénétration dans le sol, ce modèle réduit significativement la force de traction nécessaire (-30% par rapport aux systèmes conventionnels) tout en minimisant les dommages aux cultures. Particulièrement adapté aux terrains difficiles.
  • Schleppschuh : Utilisant des patins traînés, ce modèle est spécialement conçu pour les sols tourbeux et argileux sensibles. Il assure une distribution précise du lisier sans perturber la structure du sol, idéal pour les prairies et les cultures en place.

Pour maximiser l’efficacité des injecteurs Duport, plusieurs paramètres doivent être optimisés :

  • Profondeur d’injection : généralement entre 5 et 15 cm selon le type de sol et de culture
  • Vitesse d’avancement : 6 à 12 km/h selon les conditions
  • Pression hydraulique : ajustement automatique en fonction de la résistance du sol
  • Débit d’application : précisément contrôlable entre 15 et 60 m³/ha

 

Les mesures réalisées en conditions réelles montrent des résultats significatifs :

  • Réduction des pertes d’azote par volatilisation de 70 à 90% par rapport à l’épandage de surface
  • Diminution du lessivage de l’azote de 30 à 50%, réduisant considérablement la teneur en nitrates des eaux de drainage
  • Amélioration de l’efficacité agronomique de l’azote de 20 à 30%
  • Réduction des odeurs de plus de 80%, élargissant les fenêtres d’intervention à proximité des zones habitées

 

L’utilisation des injecteurs permet également d’élargir les périodes d’épandage, un avantage considérable pour les exploitants devant gérer des volumes importants d’effluents avec des fenêtres d’intervention souvent réduites par les conditions climatiques.

V Protocole d’optimisation combinée

La combinaison de la solution Akra WD et de l’injection Duport représente une approche systémique maximisant les bénéfices techniques et environnementaux. 

Cette synergie permet d’intervenir à chaque étape critique de la gestion des effluents.

Le protocole optimal combine :

  1. Application initiale d’Akra WD dans les fosses de stockage selon les dosages recommandés
  2. Période de fermentation de 1 à 3 semaines selon la température extérieure
  3. Brassage réduit avant épandage (généralement 50% du temps habituellement nécessaire)
  4. Ajout d’une dose complémentaire d’Akra WD (0,2 à 0,5 litre par m³) lors du chargement de la tonne à lisier
  5. Épandage par injection avec les outils Duport réglés selon les caractéristiques du lisier traité

 

Cette approche intégrée permet d’optimiser les caractéristiques physico-chimiques du lisier avant son application, puis de maximiser son efficacité agronomique grâce à l’injection précise.

Le suivi régulier des caractéristiques du lisier (pH, teneur en matière sèche, azote ammoniacal) permet d’ajuster finement les protocoles et d’optimiser les résultats.

L’investissement dans ces solutions techniques doit être analysé sous l’angle du retour sur investissement global. 

Le coût d’implémentation est rapidement amorti par plusieurs facteurs :

  • Économies sur les engrais azotés minéraux
  • Réduction des coûts de brassage
  • Valorisation agronomique supérieure : augmentation des rendements
  • Conformité réglementaire évitant d’éventuelles sanctions

 

Conclusion

L’optimisation de la gestion des effluents d’élevage représente un enjeu majeur pour les exploitations agricoles modernes. 

La combinaison de la solution  Akra WD et des techniques d’injection Duport offre une solution technique complète, permettant de réduire significativement les émissions d’ammoniac tout en améliorant la valeur agronomique des effluents.

Cette approche intégrée répond aux exigences réglementaires croissantes tout en générant des bénéfices économiques tangibles pour les exploitants. Elle s’inscrit dans une démarche d’agriculture durable, conciliant performance économique et respect de l’environnement.

Pour un accompagnement personnalisé dans l’optimisation de votre système de gestion des effluents, n’hésitez pas à nous contacter, nous pourrons vous proposer une solution adaptée aux spécificités de votre exploitation.

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